1. présentation
IMAGE constellations
- Sarah
- Loraine
- JFTR: collectif composé de nous et de M & M deux artistes + question des représentations genrées en ligne
2. la question des cadres d'action
: David/JFTR/Hélène/Garnet
opposition/complémentarité/impasses/prolongements entre lutte, brief, commande, mission ; vous évoluez dans des cadres différents (notamment en tant que designers pro/enseignant.e.s/activistes/chercheur.e.s) : comment votre pratique est-elle déplacée par les cadres ? ça fait lui / vous fait quoi ?
les différents cadres dans lesquels vous évoluez :
- les milieux en luttes (lesquelles ?)
- les milieux activistes (qui ne sont pas forcément en lutte, je pense notamment à certain.e.s activistes de la souveraineté technologiques : electronic disobedience, open publishing)
- les milieux professionnels privés
- les milieux professionnels publics
- les institutions culturelles
- les institutions pédagogiques
- les milieux académiques
- etc.
- milieux activistes (féministes, libre) x institutions culturelles: JFTR
- Wikipédia x festivals & milieux féministes x institutions culturelles
- activistes qui font du graphisme
- (graphisme libre & open source avec OSP → rapport de collaboration avec commanditaires)
- féminisme x pédagogies > transmission IMG For the record, fierce pussy
- requestionnement des rapports
3. la question de l'énonciation collective : Hélène/JFTR
comment ça se passe ? comment ça met en jeu la notion d'autorialité ? comment ça réagence votre identité au moment où vous êtes pris dans la machine de lutte ? --> comment vous n'êtes pas que designer ? pas d'abord designer ? plus designer ? dans l'espace-temps de la lutte/de la cause/de l'action
- JFTR: énonciation collective
- plateforme: ré-écriture de l’histoire collective
- identité collective pour parler de sujets dont on ne voudrait pas parler en tant qu’individu (possibilité d’anonymat) IMG GUERRILLA GIRLS
- solidarité, never alone
4. la question de la tension économique : David/Hélène/Garnet
comment la question $$$ traverse votre tâche ? je pense par exemple à plusieurs expériences d'Hélène : expérience en milieu militant "pur" : refus éthique de réattribuer un reliquat de budget à la production des fascicules + difficulté des militants à laisser partir les objets éditoriaux parce qu'ils ont coûté de l'argent et que l'économie de l'asso ne permettra plus leur réimpression VS. expériences en milieu institutionnel, avec des budgets accordés à l'aveugle, et parfois "détournés" pour financer d'autres objets de lutte, ou pour financer un travail à portée militante qui restait en souffrance, etc.
travailler pour / être employé
5. la question des outils : David/JFTR/Hélène/Garnet
compréhension, (ré)appropriation, partage, libération, etc.
- graphisme libre & open source avec OSP, réappropriation des outils IMG shape your tool
- approche libre & open source: sens dans un rapport au féminisme? réapprentissage IMG douglas engelbart brick
- wikipedia, travail de diversité et d'ouverture → Tabita Rezaire
donc... on partirait sur la contrainte suivante, qui serait que chacun.e.s fassent des slides composites (plusieurs images par slide, pour montrer un projet dans le détail et/ou exposer une position de façon construite et didactique à partir d'un projet) et que ce nombre de slide soit limité. Hélène proposait 3 à 4 de ces slides par personne, peut-être que c'est plutôt
4 à 5 slides par point de discussion ?
– graphisme et diversité
– For the record
– Guerrilla Girls
constellation
jftr + sheila
requestionner les institutions